L'immobilier de montagne résiste à la crise !

Malgré la crise sanitaire, l’immobilier de montagne reste une valeur refuge. Le télétravail aura notamment permis une croissance de 20% concernant les locations de longue durée de plus d’un mois en 2021.
 

L'immobilier de montagne résiste à la crise !

L'immobilier de montagne reste une valeur refuge

Selon l’étude annuelle de l’immobilier de montagne réalisée par CIMALPES, un grand nombre de familles n’hésitent pas à prolonger la location de quelques semaines supplémentaires. Certains « optent même pour des locations de plusieurs mois avec en tête l’idée de télétravailler en station de montagne ».

On peut donc parler de résidences semi-principales qui sont généralement occupées deux à trois mois durant l’année. Selon l’étude ils seraient 25% à vouloir rendre leur résidence secondaire, leur résidence semi-principale à moyen ou long terme.

La vie à la montagne fait rêver de plus en plus de Français et les demandes de locations sont élevées.

Côté propriétaires, la tendance est identique et ils sont de plus en plus nombreux à se lancer dans un projet d’acquisition avec pour objectif de faire de ce bien leur résidence semi-principale.

Il semblerait donc qu’investir dans l’immobilier de montagne ne soit pas aussi risqué qu’on ne le pense habituellement, l’investissement de montagne semble même avoir été considéré par un grand nombre d’investisseurs durant la crise covid comme valeur refuge, selon CIMALPES.

 

Une augmentation constante des prix

Cet engouement pour la montagne se traduit donc naturellement par une augmentation constante des prix. Val-Thorens a par exemple connu une hausse des prix de 7% en 2021. Tignes de son coté a connu une hausse de 4% (et 8% pour le neuf).

Du coté des augmentations notables, Méribel obtient la première place avec une augmentation de 19% depuis 2019. Il est important de souligner l’augmentation qu’à vécu La Clusaz avec une augmentation de 16% sur les trois dernières années. De son coté Mégève arrive en troisième position avec 13% d’augmentation sur trois ans, juste avant Chamonix et son 12% d’augmentation.

 

Sources : CIMALPES